Appartements avec vue sur la Tour Eiffel

Un appartement vaste et lumineux, plein d'élégance et d'ordre classique, occupe entièrement le dernier étage du bâtiment au cœur de Paris. L'utilisation d'objets décoratifs, de textures et de teintes douces a permis à Stéphane Olivier d'organiser un intérieur élégant et émotionnellement chargé.

La terrasse ouverte le long du faîte du bâtiment s'étend sur l'ensemble du niveau permettant d'admirer la carte de visite de la ville et la célèbre vue panoramique sur les toits parisiens.

Près de la balustrade en pierre, un petit bureau de jardin en métal et marbre est entouré d'une chaise en branches et troncs de bois provenant de la galerie décorative de l'artisan. Ses goûts et instincts sont appréciés par les plus prestigieux collectionneurs.

Les visiteurs remarquent en premier lieu l'accent élégant dans l'entrée majestueuse. Son atout principal est le bureau Eros en marbre carrare et une plaque entière de ce même matériau dans le sol en chêne.

Le designer a soigneusement conçu la scène de l'harmonie complète et sans artifices. La base de la palette colorée douce et relaxante est constituée de chêne clair, murs blancs, rideaux unis, nuances douces de gris et beiges.

Un espace suffisant pour respecter les proportions : environ 350 mètres carrés avec des plafonds hauts – l'appartement est situé sous le toit même.

L'air de l'espace ouvert est renforcé par la quantité d'éclairage naturel qui filtre doucement à travers les larges fenêtres.

Les éléments de finition maintiennent l'atmosphère classique : la décorations de plafonds et le décor du poêle (ambres) qui s'accordent harmonieusement, les colonnes strictes.

Les meubles principaux ont été choisis dans des marques de design. Ici aussi sont rassemblés des exemples vintage des grandes œuvres du vingtième siècle qui définissent encore aujourd'hui le style en décoration : des traits élégants des années quarante ou plus sans souci des années soixante-dix. Mais les accents explicites sur la tendance d’une époque donnée n'existent pas, donc les détails ne modifient pas l'âme et le style global.

Dans la zone de repas du salon, les tables et chaises modernes Maxalto contrastent avec un commode chinois ancien : admirez sa patine noire. Le bar est fait en marbre.

Dans la décoration : les œuvres du céramiste Antonio Lampècco des années soixante-dix du siècle dernier, le tableau de Jordi Alcazar et la lampe Angelo Brutto.

Devant le poêle se trouve une chaise et un support pour les pieds recouverts d'une tissu design Zimmer + Rhode, ainsi que des tables basse avec des surfaces en bois fossilisé. Un miroir ancien à cadre doré côtoie une peinture de Félicien Béjar et des verres grossissants vintage.

Cet angle de détente dans le salon est visuellement séparé du coin de la salle à manger par un tapis en soie grise sur le sol.

L'éclairage est également bien conçu : pour obtenir une douceur sans sauts brusques, tout l’éclairage artificiel dans la maison est organisé via des plafonniers avec contrôle de luminosité.

Des bancs de jardin vintage du XIXe siècle en style Provence se rencontrent partout dans l’appartement, ils s'associent surprenant avec les objets Art Déco et les œuvres d’art moderne.

Dans la chambre, au lieu de tables de chevet, on a utilisé des étagères intégrées ouvertes pour ranger et des étagères suspendues. Sur chacune, les lampes dorées de Pierre Cardin. Sur le mur se trouve une sculpture de Curtis Gere Raindrops créée en 1968 : miroir encadré avec des gouttes dorées.

Prêtez attention à la fenêtre romantique au-dessus du bureau de toilette donnant sur la vue à travers la verdure naturelle de la terrasse vers la Tour Eiffel. Une carte postale !